14h, heure locale, survol d’Auckland. L’atterrissage est chaotique comme depuis notre départ de Paris. Finalement un A380 ne doit pas se poser aussi aisément que les autres.
Le stress du passage de la douane monte. Dans l’avion, il nous a fallu 4 formulaires d’entrée sur le territoire chacun avant d’en remplir un correctement. On va vite savoir si nous avons coché les bonnes cases. La vidéo de présentation nous a rappelé tous les risques encourus en cas de mauvaise déclaration. Gloups.
Premier douanier OK. Il nous appelle par nos prénoms, on va finir autour d’une bière sur le port ? On récupère nos bagages qui ont miraculeusement suivi, ouf. Deuxième douanier, parce qu’ici ils font simple. Après nos biens, on vérifie que l’on ne représente pas un risque bactériologique… Après 28h d’avion tout le monde représente un risque biologique !
Le néo-zélandais a peur des bactéries. Laura commence à raconter un truc soft, que l’on fait de l’adventure racing, juste se rouler dans la boue quoi… Elle achève le douanier en montrant ses chaussures pleine de boue. Nous voilà bon pour le troisième douanier. Inspection fouillée des objets qui peuvent contenir graine ou bactérie. Un quatrième douanier emmène la tente pour inspection et va laver les chaussures… le pauvre. Nous récupérons tout le matos au guichet du Biosecurity Hazard, juste devant la monumentale statue de Gimli. Le ton est donné.
La première boutique présente à la sortie de la douane est judicieusement un vendeur de mobile. J’en profite donc pour récupérer une carte sim pour avoir de la data pendant le mois. Je pourrais ainsi publier facilement sur le blog, faire des réservations, et utiliser le GPS. Et cela va servir tout de suite, car il nous faut un bus direction l’hôtel.
Le système de bus est efficace et nous arrivons rapidement à l’hôtel. Là, le jetlag nous rattrape. Nous ne verrons pas Auckland aujourd’hui.
Publié le: 8 mars 2013
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Catégorie: Blog, Ile du Nord, Océanie
Tags: Auckland, LOTR, Nouvelle-Zélande