Par de nombreux aspects, la capitale néo-zélandaise ressemble à Berlin. D’abord, parce qu’il pleut… Mais surtout, les murs sont recouverts de graffitis et les gens ont des tendances punks.
C’est une ville hors du temps, d’une autre époque. Des années 70 en fait. Pour la mode vestimentaire, on repassera. Les mini jupes, oui, les chaussettes, non. Une chaîne de magasin de chaussures s’appelle Footloose, eh bien les filles ont un peu le même look que la chérie de Kevin Bacon.
C’était la minute parisienne.
Ce qu’on a aimé, voire adoré : le restaurant Fidel’s, en haut de Cuba St, à l’effigie de Fidel Castro, créé spécialement pour Guillaume ; Cuba St, la rue la plus exotique et dynamique de la ville ; la Central Library ou nous avons passé quelques heures pour lire et travailler. Guillaume devait terminer son mémoire de BF5 à distance. Mais un mémoire sur le triathlon depuis la Nouvelle-Zélande, y’a pas meilleur endroit.
Ce qu’on a moins aimé : le Te Papa Museum, une sorte de musée du Quai Branly version Maori, très grand, très riche en informations, mais aucun fil conducteur. On finit par s’y perdre et se lasser. Le musée de Rotorua était bien mieux concernant la culture Maori. Par contre, super expo sur les séismes et les volcans.
Enfin, c’était la Saint-Patrick… Alors on s’est mêlés aux nombreux néo-zélandais sortis fêter l’événement et surtout boire une bière.
Publié le: 18 mars 2013
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Catégorie: Blog, Ile du Nord, Océanie
Tags: Fidel, Maori, Nouvelle-Zélande, Te Papa, Wellington